L’anxiété est une émotion que tout le monde ressent à un moment ou à un autre de sa vie.
Elle se manifeste lors de situations stressantes de notre quotidien comme un examen, une prise de parole en public, un nouveau travail…
Mais lorsque cette émotion devient incontrôlable ou se présente trop souvent et dans des situations trop diverses, elle se transforme en un véritable fardeau.
Si vous êtes vous-même concerné.e, sachez que vous n’êtes pas seul.e : l’anxiété touche énormément de personnes dans le monde et c’est l’un des troubles les plus courants de nos jours.
Mais l’anxiété peut aussi présenter une certaine utilité et même quelques avantages !
Alors, quel est le rôle de l’anxiété ? Quels sont ses mécanismes et pourquoi est-il si difficile de s’en libérer ?
Pourquoi ressentons-nous de l’anxiété et comment se manifeste-t-elle dans notre corps et dans notre esprit ?
Quelles en sont les causes et les conséquences sur notre santé ?
Quels sont les traitements et les solutions pour soigner l’anxiété ?
Découvrez toutes les réponses dans cet article.
Quel est le rôle de l’anxiété ?
Connaissez-vous la fonction première de l’anxiété ?
Nous avons tendance à percevoir l’anxiété uniquement sous un aspect très négatif, mais il faut savoir que cette émotion peut également être bénéfique. Elle a même été indispensable à la survie de l’espèce humaine.
En effet, le rôle initial de l’anxiété est de nous protéger : elle nous alerte et mobilise notre corps pour nous préparer à agir face aux situations dangereuses et prendre des précautions pour éviter les risques.
Grâce aux signaux envoyés par le cerveau à notre système nerveux, notre corps réagit et se prépare physiquement et mentalement à faire face au danger : notre production d’hormones (adrénaline et noradrénaline) augmente, ce qui stimule nos organes :
Notre rythme cardiaque et notre respiration s’accélèrent, nos poumons sont ainsi mieux oxygénés et le sang afflue dans nos muscles pour qu’ils soient prêts à se mettre en action.
Notre digestion est ralentie afin d’économiser notre énergie, nos pupilles se dilatent pour améliorer notre vue, notre transpiration augmente pour maintenir notre corps à une température fraîche et notre attention se concentre entièrement sur la menace.
C’est un phénomène très complexe et assez incroyable !
Une fois que le corps est prêt, nous avons deux manières de réagir : la fuite ou le combat.
Ainsi, c’est grâce à l’anxiété et à la mobilisation totale de leurs ressources que nos ancêtres ont compris qu’il fallait fuir devant les mammouths et combattre les plus petits gibiers pour se nourrir et ainsi préserver la vie.
Dans le monde actuel, bien entendu, nous ne rencontrons plus de mammouth dans notre quotidien, nous ne sommes plus confronté.e.s à ce genre de situations dangereuses face auxquelles nous devions soit nous enfuir soit nous battre.
Cependant, lorsque nous sommes touché.e.s par l’anxiété, notre corps continue de réagir de la même manière mais dans des situations anodines, comme prendre les transports en commun, parler en public, conduire sur l’autoroute…
En d’autres mots, notre corps se mobilise entièrement pour fuir ou combattre mais dans une situation qui ne le nécessite pas forcément.
Notre seuil de réactivité face aux événements est particulièrement sensible : c’est comme si le signal d’alerte était déréglé et se mettait en marche à tout bout de champ.
Ce sont cette hyper-vigilance et cet état d’alerte permanent qui déclenchent les réactions physiologiques dès que notre cerveau croit qu’il y a un réel danger, nous causant ainsi des crises d’angoisse.
Différences entre peur, angoisse et anxiété
Il est difficile de décrire ce que nous ressentons lorsque nous sommes confronté.e.s à un sentiment de peur et nous utilisons souvent indifféremment les termes d’anxiété et d’angoisse.
Il s’agit en fait de la même émotion, mais qui s’exprime à des degrés différents et ne se manifeste pas tout à fait de la même façon :
L’anxiété
L’anxiété est une sensation de malaise un peu diffuse qui nous plonge dans un état d’appréhension, de nervosité et de détresse plus ou moins intense.
Elle a tendance à être chronique, c’est-à-dire à s’installer dans la durée, et se traduit par une inquiétude permanente pour tout et des anticipations négatives rendant la vie très compliquée (elle peut évoluer en Trouble Anxieux Généralisé).
L’angoisse
L’angoisse est une émotion plus « aiguë », elle survient de manière plus ponctuelle, sous forme de crise. Elle est comme la forme exacerbée de l’anxiété.
Les crises d’angoisse sont parfois si fortes qu’elles se transforment en véritables attaques de panique très intenses et déstabilisantes, elles s’accompagnent d’un sentiment de perte de contrôle et de l’impression d’un danger grave imminent.
La peur
La peur est une réaction forte et intense, directement liée à la présence d’un danger. Elle n’est pas pathologique en tant que telle.
Comment l’anxiété devient pathologique
Il existe divers degrés d’anxiété bien entendu et je dirais qu’ils sont liés en partie à la prise en charge plus ou moins rapide et réussie de ce trouble.
En effet, si l’anxiété constitue le plus souvent une gêne ponctuelle, elle peut se transformer en un handicap sévère et très douloureux si elle n’est pas détectée et soignée.
Lorsque l’anxiété se manifeste de manière incontrôlée ou excessive, c’est-à-dire sans raison apparente ou de façon disproportionnée par rapport à une situation, ainsi que de manière chronique, c’est qu’elle est pathologique.
Elle nous submerge et inhibe nos ressources personnelles ainsi que notre capacité à faire face aux événements de la vie.
Bien que la peur que nous ressentons alors soit irrationnelle et subjective, la perception du danger est bien réelle.
Les efforts constants que nous devons faire pour affronter le quotidien contribuent à la dégradation de notre vie, parasitant et nuisant à chacun de ses aspects.
Les 7 principaux types d’anxiété
Le Trouble Anxieux Généralisé (TAG)
Il correspond à un sentiment général et constant d’anxiété très difficile à contrôler : on s’inquiète pour tout et tout le temps, de manière irrationnelle et intense. On a « la boule au ventre » comme avant un examen du matin au soir sans vraiment savoir pourquoi, tout est anxiogène.
La Phobie sociale
Il s’agit de la peur d’être exposé au regard (et au jugement) des autres, elle se manifeste lors de situations sociales qui pourraient être embarrassantes, humiliantes ou qui sont associées à une notion de performance.
Elle est très invalidante au quotidien, et ce dans tous les domaines de la vie. C’est pourquoi elle a un impact très négatif et entraîne l’isolement.
Le Trouble panique
On évoque ce trouble lorsque l’on subit des attaques de panique de manière imprévisible et récurrente.
Les attaques de panique sont des crises de peur incroyablement intenses durant lesquelles on a du mal à respirer, la nausée, des vertiges et des palpitations et surtout on ressent une peur très forte et incontrôlable.
L’Agoraphobie
Contrairement à ce que l’on croit souvent, ce n’est pas la peur de la foule !
Souvent associée au trouble panique, l’agoraphobie consiste à vivre dans la terreur d’être pris au piège et dans la peur d’avoir une attaque de panique dans une situation dans laquelle on ne pourrait s’enfuir immédiatement.
On redoute et on évite alors toutes les situations desquelles on ne peut pas s’échapper facilement, ou les endroits difficiles d’accès dans le cas où on aurait besoin d’aide médicale.
Les conséquences sont terribles car on finit par être totalement prisonnier.ière de ses peurs.
Les Phobies spécifiques
Très répandues, parfois spectaculaires et souvent utilisées pour divertir les téléspectateurs dans les jeux télévisés, elles désignent les peurs irraisonnées d’un objet précis.
Les plus communes sont par exemple la phobie des serpents, des ascenseurs ou encore de l’avion.
Elles sont difficiles à surmonter, bien entendu, mais elles sont moins invalidantes de par leur caractère justement spécifique : ne s’étendant pas à trop de situations différentes du quotidien, on peut les contourner ou vivre avec.
Le Stress post-traumatique
Comme son nom l’indique, ce trouble anxieux est lié à un événement traumatisant qui aurait laissé des séquelles et causant des réactions émotionnelles ou physiques gênantes, parfois des années après.
Il traduit la manière dont le corps et l’esprit traitent l’événement et font face au passé.
Les Troubles Obsessionnels Compulsifs
Vous les connaissez sous l’acronyme TOC, ils sont une manifestation de l’anxiété et se traduisent par :
- des obsessions : des images ou des pensées importunes et répétitives dont on a du mal à se débarrasser
- des compulsions : des actions ou des stratégies mentales, non désirées et répétitives également, dans le but de réduire le niveau d’anxiété.
C’est un trouble du comportement très envahissant et qui génère bien souvent un cercle vicieux duquel il est difficile de sortir.
Les phobies spécifiques apparaissent en général dans l’enfance ou l’adolescence, tandis que le trouble anxieux généralisé, le trouble panique ou le syndrome de stress post-traumatique surviennent plutôt à l’âge adulte.
L’intensité des troubles liés à l’anxiété est variable et tout le monde ne souffre pas de la même manière. Ainsi, certaines personnes parviennent à vivre avec des crises ponctuelles, d’autres sont incapables de mener une vie normale (si c’est votre cas, ne vous en voulez pas, ça arrive et c’est parfaitement compréhensible !!!).
Important :
Cet article ne remplace en rien un diagnostic, si vous pensez souffrir de l’un de ces troubles, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé mentale !!
Quelles sont les manifestations de l’anxiété ?
L’anxiété est une émotion pernicieuse, elle s’infiltre en nous et se manifeste dans notre corps et interfère dans nos pensées.
Les manifestations physiques
J’ai eu pendant longtemps des difficultés à identifier la multitude de sensations corporelles que je ressentais et à les verbaliser.
Pour celles et ceux d’entre vous qui auraient du mal à mettre des mots sur ce qu’ils éprouvent, voici un certain nombre de symptômes physiques de l’anxiété :
- palpitations cardiaques
- sueurs (mains moites, bouffées de chaleur…)
- tremblements
- bouche sèche, boule dans la gorge
- spasmes ou faiblesse musculaire
- sensation d’étouffement, souffle court
- oppression thoracique
- nausées
- douleurs abdominales
- vertiges ou étourdissements
- maux de tête
- fatigue
- picotements ou engourdissements dans les membres
D’une manière générale, ce sont souvent des douleurs diffuses, des maux généralisés, très perturbants au quotidien, assez difficiles à expliquer à un médecin et encore plus à faire disparaître !
Les manifestations psychiques
Comme vous l’avez sans doute constaté vous-même, les effets ne s’arrêtent pas là, bien au contraire…!
L’anxiété modifie notre équilibre émotionnel et nous pouvons alors ressentir les symptômes dits « cognitifs » suivants :
- sentiment d’appréhension ou de menace
- impression de danger imminent
- tension, nervosité
- irritabilité
- agitation
- confusion
- sentiment de malaise impalpable
- obsession des sensations
- sentiment de « déjà-vu »
- anticipation négative
- peur de mourir
- hyper-vigilance
- déréalisation (impression que l’on « sort de soi-même »)
- dépersonnalisation (impression que l’on n’est plus dans la réalité).
Ces ressentis sont à mon sens encore plus compliqués à identifier et décrire lorsqu’ils apparaissent car ils ont un impact sur notre appréhension cognitive sans que nous en ayons bien conscience.
Ils font aussi partie des effets les plus désagréables de l’anxiété et le fait de les ressentir accentue l’angoisse qui les a provoqués.
Quelles sont les causes de l’anxiété ?
Vous vous en êtes peut-être déjà rendu compte si vous avez commencé à vous occuper de vos troubles anxieux : les causes sont difficiles à déterminer.
D’un point de vue généraliste, les causes de l’anxiété peuvent être :
- Biologiques (héréditaires) : c’est-à-dire que nous avons plus de risques de présenter des troubles anxieux si un parent en souffre
- Physiologiques : par exemple, il semblerait que les femmes soient plus touchées que les hommes, ou encore les personnes hypersensibles
- Environnementaux : des expériences de vie comme un déménagement, un changement de profession, une situation financière précaire peuvent déclencher de l’anxiété
D’un point de vue plus individuel, il vous faudra certainement fouiller dans votre passé, souvent dans votre enfance, afin d’identifier les événements qui ont pu vous marquer et favoriser l’installation de l’anxiété qui explique, à terme, l’apparition des troubles actuels.
Cette introspection n’est pas simple et peut être effrayante et douloureuse, il convient de la faire à l’aide d’un thérapeute.
Attention, trouver la cause ne fera pas disparaître votre anxiété comme par magie mais sera nécessaire pour identifier ce qui a pu la déclencher.
Ce travail vous permettra également de mieux vous connaître, ce qui est indispensable pour pouvoir agir sur votre anxiété.
Quelles sont les conséquences de l’anxiété ?
Les conséquences de l’anxiété sur notre santé physique
L’anxiété provoque de nombreux symptômes physiques : lorsqu’ils sont vécus de manière fréquente et s’installent dans la durée, ils ont indéniablement un impact sur notre santé…
Ainsi, les troubles digestifs peuvent évoluer en ulcère, en colite ou en reflux gastro œsophagien, les tensions musculaires se transforment en douleurs chroniques du dos ou en migraines, notre système immunitaire s’affaiblit peu à peu…
C’est pourquoi il est très important de soigner votre anxiété.
Les conséquences de l’anxiété sur notre santé mentale
Au fil du temps, la tension et le stress causés par l’anxiété permanente épuisent notre corps et mais aussi notre esprit.
Lorsque l’on souffre d’anxiété pendant plusieurs années, il peut arriver que l’on traverse des dépressions.
Ce n’est pas une fatalité bien sûr. Pour ma part j’ai vécu plusieurs épisodes dépressifs majeurs (dont 2 ont entraîné une hospitalisation) au cours des années durant lesquelles j’ai souffert de sérieux troubles anxieux.
Les conséquences de l’anxiété sur notre comportement
Pour atténuer notre souffrance et nous soulager, nous mettons en place des stratégies.
L’une des stratégies certainement la plus courante est l’évitement.
Quel que soit le trouble anxieux dont on souffre, nous avons tendance à chercher à éviter ce qui cause notre anxiété dans le but de ne plus ressentir les émotions ou sensations désagréables.
Nous avons l’impression que cette solution est fantastique car elle est très bénéfique à court terme : l’évitement réduit immédiatement l’anxiété et nous permet de nous sentir mieux
Il est très important de bien comprendre que ce comportement est extrêmement néfaste dans la durée : il entretient, maintient et augmente la peur au fil du temps.
Par l’évitement nous aggravons (sans nous en rendre compte) notre problème car nous envoyons un message erroné à notre cerveau en lui indiquant qu’il a raison d’avoir peur dans les situations que nous nous mettons à éviter.
C’est ce que l’on appelle le cercle vicieux, et en ce qui concerne l’anxiété, il est redoutable car la peur entraînant la peur, il est ensuite très difficile de nous confronter à ce qui nous angoisse et donc de sortir de ce cercle vicieux.
J’ajouterai que s’il est assez facile de se rendre compte de son évitement en cas de phobie spécifique (face à un animal par exemple), la tâche est moins évidente lorsque l’on souffre d’un trouble panique car il nous pousse à renoncer petit à petit à tout un panel de situations différentes sans que l’on s’en aperçoive… jusqu’à ce qu’on se réveille un beau jour sans plus pouvoir sortir de chez soi.
Il est donc très important de prendre conscience de ce comportement et de ne pas le laisser s’installer dans votre vie. Pour cela, vous pouvez utiliser un tableau d’auto-observation.
Quels sont les traitements pour l’anxiété ?
Il existe de nombreuses méthodes pour se libérer de l’anxiété mais je vais être franche, le remède miracle n’existe pas, il n’est pas facile de se débarrasser de l’anxiété. Cela demande du temps, de l’implication et bien souvent du tâtonnement.
Mais sachez que quelle que soit l’ampleur de votre trouble, vous pouvez arriver à retrouver un fonctionnement normal et une bonne santé mentale.
Les traitements médicamenteux
Les médicaments ne constituent pas une solution à eux seuls mais ils permettent de diminuer vos symptômes, d’améliorer votre fonctionnement psychique et social et ainsi être dans de meilleures conditions pour suivre une thérapie. Ils sont parfois indispensables lorsque l’on va trop mal !
Les médicaments les plus souvent prescrits pour l’anxiété sont :
- les antidépresseurs
- les anxiolytiques
- les régulateurs d’humeur
Veillez à ce qu’ils vous soient prescrits par un médecin psychiatre dont la santé mentale est la spécialité.
Les psychothérapies
Comme je vous le disais, les médicaments seuls ne suffisent pas en général à venir à bout de l’anxiété, un suivi psychologique est souvent nécessaire et en tout cas toujours bénéfique (il suffit de trouver le bon thérapeute), n’hésitez pas à franchir le cap !
Voici les principaux suivis thérapeutiques à votre disposition :
- la psychanalyse (ou psychothérapie analytique) : pour vous permettre d’effectuer le travail de recherche de l’origine de vos angoisses
- la thérapie de groupe : pour travailler votre anxiété sociale par exemple
- la thérapie par réalité virtuelle : très efficace pour les phobies spécifiques dont on peut reproduire la mise en situation
- les thérapies nouvelles vagues : la TCC (Thérapie Cognitive et Comportementale) ou encore la thérapie ACT (Action et Engagement) sont les plus adaptées aux troubles anxieux
- la thérapie mindfullness : la pratique de la méditation et de la pleine conscience est très pertinente pour la prévention des rechutes
Les médecines alternatives
Comme je vous l’ai répété dans cet article, l’anxiété a de nombreuses conséquences sur notre santé physique et mentale, qu’il est également intéressant de soulager et soigner à l’aide de pratiques douces et de médecines naturelles.
Vous-même avez-vous peut-être déjà essayé certaines de ces pratiques et médications ?
- L’acupuncture
- L’homéopathie
- Les huiles essentielles
- Les fleurs de Bach
- L’hypnothérapie
- Le massage bien-être
- La phytothérapie
- La réflexologie plantaire…
Vous pouvez recourir à ces méthodes comme traitement de fond, de manière préventive ou encore en complément de votre traitement médicamenteux. Cela vous aidera à vous détendre et vous relaxer sans agresser votre corps ni le saturer de substances chimiques !
Pour terminer
Pour conclure cet article, j’aimerais que vous gardiez à l’esprit tout d’abord que l’anxiété est une sensation normale et présente chez tous les êtres humains, mais aussi qu’elle ne présente pas que des désavantages, bien au contraire !
En raison de notre hyper vigilance et notre souci d’anticipation, l’anxiété représente aussi une grande qualité qui nous rend très performant.e.s !
Pour sortir de l’anxiété, comprendre ce que c’est est essentiel, mais cela ne suffit pas. Vous devrez travailler sur vous, tester et expérimenter des outils afin de trouver ce qui vous aidera à vous sentir mieux.
Il n’existe pas de solution unique aux troubles anxieux car le traitement sera vraiment en fonction de chacun : de l’intensité de l’anxiété, du degré de votre handicap, de votre sensibilité et votre personnalité et il vous faudra trouver une thérapie adéquate, adaptée à vos besoins, à vos symptômes, ainsi qu’à votre situation sociale et familiale.
Je suis passée par là, faites-moi et faites-vous confiance !
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